Connect with us

ACTUALITES

Cheikh Ndao adjoint au maire: Preuves à l’appui

Publié

on

À peine quelles heures après la sortie du coordonnateur de la plate-forme Nay Ler Pape Simakha accusant le Maire de Kaolack d’être derrière l’arrêt des travaux d’un terrain de football au cœur de ville, les partisans de Mariama Sarr n’ont pas tardé à apporter des précisions. Selon l’adjoint au maire, El hadji Cheikh Ndao, madame Mariama Sarr n’est ni de près ni de loin mêlée à cette affaire. De l’avis de Monsieur Ndao, les détracteurs du maire n’ont pas respecté la procédure de construire raison pour laquelle la Direction de la surveillance, du contrôle et de l’occupation du sol(DSCOS) a arrêté les travaux du terrain de football.

Pour mieux illustrer ces allégations Monsieur Ndao nous a envoyé les documents techniques si dessous.

 

La demande de permis de construire doit être initiée par la personne physique ou morale propriétaire des lieux ou par une personne dûment mandatée. Elle s’impose aussi aux administrations, aux services publics et concessionnaires de services publics de l’Etat, aux communes et aux communautés rurales. Ainsi, le propriétaire s’assure que les droits d’usage qui lui ont été concédés sont réels et que l’ouvrage prévu présente toutes les garanties de sécurité.
L’autorisation de construire ou permis de construire vise à garantir le respect de normes urbanistiques et architecturales. Il est exigé pour les travaux neufs de construction, la réalisation de clôtures d’une hauteur dépassant deux (2) mètres , les modifications extérieures apportées aux constructions existantes, les reprises de gros œuvres, les surélévations et les travaux entraînant une modification importante de la distribution intérieure des bâtiments existants. Il concerne tous ces travaux quel que soit l’usage (habitation ou autre) du bâtiment.
les documents à fournir sont:
-Une demande manuscrite adressée au maire de la commune territorialement compétente;
-Une copie du titre de propriété (titre foncier, permis d’occuper, attestation, bail ou droit de superficie)
-Un plan de situation et de délimitation du terrain d’assiette du projet ( c’est à dire sur lequel figure l’emplacement destiné à recevoir la construction); ce plan doit être certifié exact par le service du Cadastre
-5 jeux de plan de construction architectural (situation, masse, plan, coupe, façade) à l’échelle de 1/100e
-Une fiche de renseignement portant sur le projet de construction
-Un devis descriptif du projet
-Un plan de fosses sceptiques ou indiquer le système d’évacuation à l’égout s’il existe;

Continuer la lecture
Cliquez pour commenter

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

ACTUALITES

Nécrologie: L’animateur Dj Dogo de la RTS Kaolack est décédé…

Publié

on

Le célèbre animateur de la RTS Kaolack, Dj Dogo (MC Dogolia) n’est plus. Abdoulaye Mbengue de son vrai nom est décédé hier, a appris Kaolack Infos

Son inhumation est prévue ce lundi 25 novembre, après la prière de Takkussane (17 heures).

Kaolack Infos présente ses condoléances au personnel de la RTS Kaolack et à toute sa famille.

 

Continuer la lecture

ACTUALITES

Kaolack: Cheikh Ibrahima Diallo au chevet de la pouponnière de Bongré

Publié

on

Le fils ainé de Cheikh Mouhidine Alpha Samba Diallo, Cheikh Ibrahima Diallo, a apporté des dons à la pouponnière Lamine Coulibaly de Bongré dans la commune de Kaolack.

Ce don est composé de kits alimentaires, de couches entre autres. Cette action a été une occasion pour le chef religieux d’apporter son soutien et assistance à ces enfants orphelins. « Nous allons tout faire pour apporter notre soutien tous les six mois ou au moins une fois l’année », a promis Cheikh Ibrahima Diallo.

La directrice de la pouponnière a salué à sa juste valeur. « Je remercie vivement le marabout pour le geste que nous apprécions à sa juste valeur », s’est réjoui Fama Ndiaye Diaw.

Pour rappel, la pouponnière prend actuellement en charge 26 enfants de 0 à deux ans qui ont perdu soit leurs mamans, soit abandonnés ou de mères déséquilibrées.

Continuer la lecture

ACTUALITES

Réinventer le « Système » pour un Sénégal résilient et durable (Par Dr. Abdourahmane Ba)

Publié

on

La victoire de PASTEF aux élections législatives de novembre 2024 consolide une majorité confortable à l’Assemblée nationale et offre une opportunité unique pour engager des réformes structurelles ambitieuses et opérationnaliser efficacement la Stratégie nationale de développement (SND) 2025-2029. Cette phase critique nécessitera des approches techniques solides et une mobilisation cohérente des mécanismes de financement et de gestion, adaptés aux réalités socio-économiques du Sénégal.

La réforme fiscale devra être un pilier central pour maximiser les recettes publiques et réduire la dépendance aux financements externes. Un audit complet du système fiscal permettra d’identifier les niches d’évasion et les exonérations inefficaces. L’instauration d’une fiscalité progressive renforcera l’équité et augmentera les contributions des segments les plus solvables de la population. La formalisation de l’économie informelle devra être encouragée par des régimes fiscaux simplifiés et des incitations spécifiques, tels que des réductions temporaires pour les nouveaux entrants. La modernisation des outils numériques fiscaux automatisera les processus, réduira les fraudes et favorisera la transparence dans la gestion des recettes.

Les partenariats public-privé (PPP) devront constituer un levier essentiel pour financer les infrastructures stratégiques. La mise en place d’un cadre juridique robuste assurera la transparence et la prévisibilité des investissements. Un guichet unique simplifiera les procédures administratives et facilitera la gestion des projets. Ces PPP devront se concentrer sur des domaines prioritaires, tels que les énergies renouvelables, les infrastructures de transport et l’amélioration des systèmes de santé. Chaque projet devra intégrer des études d’impact social et environnemental afin d’assurer des retombées positives sur les communautés locales.

Les fonds souverains d’investissement, qui seront financés par les recettes pétrolières et gazières, devront être structurés autour d’objectifs de diversification économique et de résilience. Ces fonds devront financer des secteurs stratégiques comme l’agriculture, l’éducation et les technologies vertes, tout en sécurisant les richesses pour les générations futures à travers des mécanismes d’épargne intergénérationnelle. Une gouvernance indépendante et transparente sera indispensable pour garantir leur efficacité et prévenir toute interférence politique.

Les instruments financiers innovants, tels que les obligations vertes et les Diaspora Bonds, devront diversifier les sources de financement de la SND. Les obligations vertes permettront de financer des projets alignés sur les priorités environnementales, comme la transition énergétique et les infrastructures climato-résilientes. Les Diaspora Bonds devront capter les ressources de la diaspora sénégalaise, en proposant des produits d’investissement attractifs et sécurisés, associés à des projets locaux à fort impact social. Une plateforme numérique transparente facilitera la gestion et le suivi de ces instruments.

La décentralisation devra être renforcée par une véritable territorialisation des politiques publiques. Chaque région devra mettre à jour un Plan régional de développement intégré (PRDI) aligné sur les nouvelles priorités nationales mais tenant compte des spécificités locales. Ces plans devront inclure des indicateurs de performance mesurables et des mécanismes de suivi et évaluation rigoureux. Les collectivités locales devront bénéficier d’un appui technique et financier substantiel à travers un fonds de décentralisation dédié, pour garantir une gestion efficace et transparente des ressources.

Pour changer le « système », la Nouvelle gestion publique (NGP) devra être utilisée systématiquement pour transformer les pratiques administratives en mettant l’accent sur la transparence, l’efficience et la redevabilité. La Gestion axée sur les résultats (GAR) devra être systématiquement déployée dans les institutions publiques, avec des indicateurs précis et des tableaux de bord numériques permettant de suivre les performances en temps réel. Ces outils devront être accompagnés d’audits réguliers pour ajuster les politiques en fonction des résultats obtenus et pour promouvoir une culture d’amélioration continue.

La gestion participative devra jouer un rôle clé dans l’adhésion des citoyens aux réformes de profondeur pour révolutionner le « système ». Des mécanismes consultatifs réguliers, tels que des forums régionaux, devront permettre de recueillir les besoins et priorités des communautés. Une plateforme numérique interactive offrira aux citoyens la possibilité de suivre les projets en temps réel, de signaler des anomalies et de contribuer à la redevabilité des institutions publiques.

La gestion intégrée des ressources humaines, financières et matérielles devra être renforcée par l’adoption de systèmes numériques centralisés. Ces systèmes permettront une coordination efficace des interventions et une allocation optimale des ressources en fonction des priorités stratégiques indépendamment des secteurs. Cela va permettre de changer les habitudes « en silos » laissées par le « système ». Un programme national de formation continue devra accompagner cette transformation pour doter les agents publics des compétences nécessaires à la gestion des nouveaux outils.

La modernisation des infrastructures numériques devra être une priorité pour améliorer l’efficacité des services publics. La digitalisation des processus administratifs, notamment dans les domaines de l’état civil, de la santé et de la justice, devra réduire les délais de traitement et améliorer l’accès aux services pour toutes les couches de la population, en particulier dans les zones rurales. Des campagnes de sensibilisation et de formation devront garantir une adoption rapide de ces nouvelles technologies par les usagers.
La lutte contre la corruption devra être intensifiée et accélérée pour restaurer la confiance des citoyens et des investisseurs tout en fermant la page du « système ». Une Autorité nationale de transparence, dotée de pouvoirs étendus, devra être mise en place pour enquêter et sanctionner les malversations passées et futures. Ce dispositif devra être complété par des audits systématiques publiés des marchés publics et des mécanismes de prévention, tels que des formations en éthique publique et un portail de signalement accessible aux citoyens.

L’intégration régionale devra être renforcée pour maximiser les synergies avec les initiatives régionales et continentales. Des projets communs avec la CEDEAO et l’Union africaine devront être développés dans les secteurs de l’énergie, des infrastructures et de la sécurité alimentaire. Ces initiatives bénéficieront de financements multilatéraux, comme les fonds climatiques et le Millenium Challenge Corporation, pour compléter les ressources nationales et promouvoir un développement inclusif et durable.

Avec cette approche intégrée et rigoureuse qui repose sur des mécanismes de financement innovants et des réformes de gestion efficaces, la mise en œuvre de la SND permettra de transformer les ambitions des nouvelles autorités en résultats concrets. La majorité parlementaire solide de PASTEF devra garantir l’exécution de ces priorités et assurer le changement de « système », et un Sénégal plus souverain, prospère et résilient pour les générations présentes et futures.

Dr. Abdourahmane Ba
Ingénieur Statisticien, Docteur en Management
Président du Mouvement ESSOR (Engagement Solidaire pour un Sénégal Organisé et Résilient)

Continuer la lecture

ACTUALITES

(Vidéo) Médina Baye: Un mort et 4 blessés dans l’effondrement de la dalle d’un bâtiment

Publié

on

Un mort et 4 blessés, c’est le bilan de l’effondrement d’une dalle à Médina Baye, dans la commune de Kaolack, a constaté Kaolack Infos

Les faits se sont déroulés ce samedi, vers 16 heures, selon des témoins.

Les secouristes étaient sur les lieux à la recherche d’éventuelles victimes, en présence des autorités administratives locales et religieuses.

Les victimes sont évacués au centre de santé de Médina Baye et à l’hôpital régional Elhadji Ibrahima Niass.

 

 

Continuer la lecture

Tendance