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Lutte contre le paludisme à Kaolack: 104 capteurs de moustiques installés dans la région

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Dans le cadre de la lutte contre le paludisme, le conseil départemental de Kaolack en partenariat avec la Société Techno BAM a procédé, ce samedi 31 octobre 2020, au lancement officiel du Projet Moniprew/Qista.
Un programme destiné  à  la lutter contre le paludisme. C’est dans ce cadre que la cérémonie a été coprésidée par la directrice de la santé publique Marie khemesse  Ngom et le représentant de l’ambassadeur de France à Dakar monsieur Christophe Morchoine.
Ce projet d’une importance capitale a consisté  à la mise en olace de 104 capteurs de moustiques dans la région de Kaolack. Un instrument d’une efficacité avérée qui permet de capter les moustiques dans un rayon de 60 mètres.
Leurs mises en place va ainsi permettre à la région de Kaolack de diminuer de façon drastique la prévalence du paludisme.
Pour la directrice de la santé publique, ce projet test sera démultiplié dans d’autres régions du Sénégal si des résultats probants ont

 été obtenus après la phase expérimentale.

Pour le représentant da l’ambassadeur de France à Dakar ce partenariat entre dans le cadre de la collaboration bilatérale qui a toujours existé entre le Sénégal et la France.

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Koungheul: Saisie de 210 plaquettes de cocaïne pure d’une valeur de plus de 18 milliards FCFA

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Les éléments de la subdivision des Douanes de la zone centre ont fait, hier dimanche, une importante saisie de cocaïne à Koungheul dans la région de Kaffrine.

Selon un communiqué transmis à Kaolack Infos, « Les agents de la Brigade mobile des Douanes de Koungheul, subdivision de Kaffrine, Région douanière du Centre, ont réalisé, ce dimanche 24 novembre 2024, vers 10 heures, une saisie de 210 plaquettes de cocaïne pure d’un poids total de 235kg. Les tests effectués par les kits de détection de drogues mis à la disposition des unités douanières ont été confirmés par le laboratoire national de la police technique et scientifique. La contrevaleur totale de la drogue est estimée à dix-huit milliards huit cent millions (18 800 000 000) de francs CFA. Cette saisie fait suite à un ciblage d’une pick-up de type L200 mono cabine en provenance d’un pays limitrophe. Le contrôle approfondi de la carrosserie du véhicule a permis de découvrir, entre le châssis et la benne, une cachette aménagée dans laquelle, les plaquettes de drogue saisies étaient dissimulées. Le conducteur, de nationalité étrangère, a été mis aux arrêts. L’enquête suit son cours. L’Administration des Douanes réaffirme sa détermination à combattre la criminalité transnationale organisée (CTO), notamment le trafic international de drogues », a conclu le document.

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Nécrologie: L’animateur Dj Dogo de la RTS Kaolack est décédé…

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Le célèbre animateur de la RTS Kaolack, Dj Dogo (MC Dogolia) n’est plus. Abdoulaye Mbengue de son vrai nom est décédé hier, a appris Kaolack Infos

Son inhumation est prévue ce lundi 25 novembre, après la prière de Takkussane (17 heures).

Kaolack Infos présente ses condoléances au personnel de la RTS Kaolack et à toute sa famille.

 

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Kaolack: Cheikh Ibrahima Diallo au chevet de la pouponnière de Bongré

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Le fils ainé de Cheikh Mouhidine Alpha Samba Diallo, Cheikh Ibrahima Diallo, a apporté des dons à la pouponnière Lamine Coulibaly de Bongré dans la commune de Kaolack.

Ce don est composé de kits alimentaires, de couches entre autres. Cette action a été une occasion pour le chef religieux d’apporter son soutien et assistance à ces enfants orphelins. « Nous allons tout faire pour apporter notre soutien tous les six mois ou au moins une fois l’année », a promis Cheikh Ibrahima Diallo.

La directrice de la pouponnière a salué à sa juste valeur. « Je remercie vivement le marabout pour le geste que nous apprécions à sa juste valeur », s’est réjoui Fama Ndiaye Diaw.

Pour rappel, la pouponnière prend actuellement en charge 26 enfants de 0 à deux ans qui ont perdu soit leurs mamans, soit abandonnés ou de mères déséquilibrées.

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Réinventer le « Système » pour un Sénégal résilient et durable (Par Dr. Abdourahmane Ba)

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La victoire de PASTEF aux élections législatives de novembre 2024 consolide une majorité confortable à l’Assemblée nationale et offre une opportunité unique pour engager des réformes structurelles ambitieuses et opérationnaliser efficacement la Stratégie nationale de développement (SND) 2025-2029. Cette phase critique nécessitera des approches techniques solides et une mobilisation cohérente des mécanismes de financement et de gestion, adaptés aux réalités socio-économiques du Sénégal.

La réforme fiscale devra être un pilier central pour maximiser les recettes publiques et réduire la dépendance aux financements externes. Un audit complet du système fiscal permettra d’identifier les niches d’évasion et les exonérations inefficaces. L’instauration d’une fiscalité progressive renforcera l’équité et augmentera les contributions des segments les plus solvables de la population. La formalisation de l’économie informelle devra être encouragée par des régimes fiscaux simplifiés et des incitations spécifiques, tels que des réductions temporaires pour les nouveaux entrants. La modernisation des outils numériques fiscaux automatisera les processus, réduira les fraudes et favorisera la transparence dans la gestion des recettes.

Les partenariats public-privé (PPP) devront constituer un levier essentiel pour financer les infrastructures stratégiques. La mise en place d’un cadre juridique robuste assurera la transparence et la prévisibilité des investissements. Un guichet unique simplifiera les procédures administratives et facilitera la gestion des projets. Ces PPP devront se concentrer sur des domaines prioritaires, tels que les énergies renouvelables, les infrastructures de transport et l’amélioration des systèmes de santé. Chaque projet devra intégrer des études d’impact social et environnemental afin d’assurer des retombées positives sur les communautés locales.

Les fonds souverains d’investissement, qui seront financés par les recettes pétrolières et gazières, devront être structurés autour d’objectifs de diversification économique et de résilience. Ces fonds devront financer des secteurs stratégiques comme l’agriculture, l’éducation et les technologies vertes, tout en sécurisant les richesses pour les générations futures à travers des mécanismes d’épargne intergénérationnelle. Une gouvernance indépendante et transparente sera indispensable pour garantir leur efficacité et prévenir toute interférence politique.

Les instruments financiers innovants, tels que les obligations vertes et les Diaspora Bonds, devront diversifier les sources de financement de la SND. Les obligations vertes permettront de financer des projets alignés sur les priorités environnementales, comme la transition énergétique et les infrastructures climato-résilientes. Les Diaspora Bonds devront capter les ressources de la diaspora sénégalaise, en proposant des produits d’investissement attractifs et sécurisés, associés à des projets locaux à fort impact social. Une plateforme numérique transparente facilitera la gestion et le suivi de ces instruments.

La décentralisation devra être renforcée par une véritable territorialisation des politiques publiques. Chaque région devra mettre à jour un Plan régional de développement intégré (PRDI) aligné sur les nouvelles priorités nationales mais tenant compte des spécificités locales. Ces plans devront inclure des indicateurs de performance mesurables et des mécanismes de suivi et évaluation rigoureux. Les collectivités locales devront bénéficier d’un appui technique et financier substantiel à travers un fonds de décentralisation dédié, pour garantir une gestion efficace et transparente des ressources.

Pour changer le « système », la Nouvelle gestion publique (NGP) devra être utilisée systématiquement pour transformer les pratiques administratives en mettant l’accent sur la transparence, l’efficience et la redevabilité. La Gestion axée sur les résultats (GAR) devra être systématiquement déployée dans les institutions publiques, avec des indicateurs précis et des tableaux de bord numériques permettant de suivre les performances en temps réel. Ces outils devront être accompagnés d’audits réguliers pour ajuster les politiques en fonction des résultats obtenus et pour promouvoir une culture d’amélioration continue.

La gestion participative devra jouer un rôle clé dans l’adhésion des citoyens aux réformes de profondeur pour révolutionner le « système ». Des mécanismes consultatifs réguliers, tels que des forums régionaux, devront permettre de recueillir les besoins et priorités des communautés. Une plateforme numérique interactive offrira aux citoyens la possibilité de suivre les projets en temps réel, de signaler des anomalies et de contribuer à la redevabilité des institutions publiques.

La gestion intégrée des ressources humaines, financières et matérielles devra être renforcée par l’adoption de systèmes numériques centralisés. Ces systèmes permettront une coordination efficace des interventions et une allocation optimale des ressources en fonction des priorités stratégiques indépendamment des secteurs. Cela va permettre de changer les habitudes « en silos » laissées par le « système ». Un programme national de formation continue devra accompagner cette transformation pour doter les agents publics des compétences nécessaires à la gestion des nouveaux outils.

La modernisation des infrastructures numériques devra être une priorité pour améliorer l’efficacité des services publics. La digitalisation des processus administratifs, notamment dans les domaines de l’état civil, de la santé et de la justice, devra réduire les délais de traitement et améliorer l’accès aux services pour toutes les couches de la population, en particulier dans les zones rurales. Des campagnes de sensibilisation et de formation devront garantir une adoption rapide de ces nouvelles technologies par les usagers.
La lutte contre la corruption devra être intensifiée et accélérée pour restaurer la confiance des citoyens et des investisseurs tout en fermant la page du « système ». Une Autorité nationale de transparence, dotée de pouvoirs étendus, devra être mise en place pour enquêter et sanctionner les malversations passées et futures. Ce dispositif devra être complété par des audits systématiques publiés des marchés publics et des mécanismes de prévention, tels que des formations en éthique publique et un portail de signalement accessible aux citoyens.

L’intégration régionale devra être renforcée pour maximiser les synergies avec les initiatives régionales et continentales. Des projets communs avec la CEDEAO et l’Union africaine devront être développés dans les secteurs de l’énergie, des infrastructures et de la sécurité alimentaire. Ces initiatives bénéficieront de financements multilatéraux, comme les fonds climatiques et le Millenium Challenge Corporation, pour compléter les ressources nationales et promouvoir un développement inclusif et durable.

Avec cette approche intégrée et rigoureuse qui repose sur des mécanismes de financement innovants et des réformes de gestion efficaces, la mise en œuvre de la SND permettra de transformer les ambitions des nouvelles autorités en résultats concrets. La majorité parlementaire solide de PASTEF devra garantir l’exécution de ces priorités et assurer le changement de « système », et un Sénégal plus souverain, prospère et résilient pour les générations présentes et futures.

Dr. Abdourahmane Ba
Ingénieur Statisticien, Docteur en Management
Président du Mouvement ESSOR (Engagement Solidaire pour un Sénégal Organisé et Résilient)

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