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La recomposition politique est-elle un luxe au Sénégal ? (Par- Samba Sadji)

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La recomposition politique au Sénégal est un sujet important et pertinent. Les jeunes jouent un rôle crucial dans le développement et l’avenir d’un pays. Il est essentiel de les inclure dans le processus politique afin de promouvoir leur participation active et leur engagement.

Pour commencer, il est important de mettre en place des programmes éducatifs qui visent à informer et sensibiliser les jeunes sur le système politique et les enjeux nationaux. Cela peut se faire à travers des ateliers, des conférences et des débats sur des sujets politiques clés. Il est également important de mettre en œuvre des cours d’éducation civique dans les écoles afin de développer chez les jeunes une compréhension approfondie de leur rôle en tant que citoyens et de l’importance de leur participation politique.

En outre, il est essentiel de créer des espaces de dialogue et d’échange entre les jeunes et les leaders politiques. Cela peut se faire à travers l’organisation de forums, de tables rondes et de rencontres entre les jeunes et les représentants politiques. Ces rencontres permettent aux jeunes d’exprimer leurs préoccupations, leurs idées et leurs aspirations, tout en offrant aux leaders politiques la possibilité de comprendre les besoins et les attentes des jeunes générations.

En parallèle, il est également important de renforcer la représentation politique des jeunes en encourageant leur participation dans les partis politiques existants. Cela peut être réalisé en introduisant des quotas pour la participation des jeunes aux élections internes des partis, en créant des programmes de mentorat pour les jeunes leaders politiques et en soutenant la création de mouvements politiques par les jeunes.

Enfin, il est essentiel de garantir la disponibilité de ressources et de mécanismes de soutien pour les jeunes qui souhaitent s’engager politiquement. Cela peut inclure des financements pour les initiatives jeunes, des formations sur le leadership politique et l’accès à des plateformes en ligne où les jeunes peuvent s’exprimer et échanger des idées.

En résumé, la recomposition politique avec les jeunes du Sénégal nécessite une approche holistique qui comprend à la fois des mesures éducatives, institutionnelles et de soutien. En impliquant activement les jeunes dans le processus politique, le Sénégal peut s’assurer d’un avenir politique dynamique et représentatif de toute la population.

Samba Sadji, coordonnateur régional du libéralisme social sénégalais à Kaolack

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Kaolack: Près de 100 personnes démarrent une formation sur le civisme et la citoyenneté

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Près de 100 personnes issues de la commune de Kaolack ont démarré ce, vendredi, à l’école nationale des sous-officiers d’active (ENSOA), une formation sur la citoyenneté et le civisme, a l’initiative la mairie de Kaolack dirigée par Serigne Mboup en collaboration avec le génie militaire. Cette formation regroupe des agents municipaux, des participants volontaires et des agents de la croix rouge pour une durée de 3 jours. Une fierté pour le maire qui note la discipline, la rigueur, l’engagement et le leadership chez les sous-officiers. Ainsi, Serigne Mboup s’engage à collaborer avec e génie militaire pour développer la ville de Mbossé.
Venu représenté le Colonel Diouma Sow commandant de la zone militaire N3, le Colonel EL Hadji Omar Faye, Commandant de l’ENSOA, a remercié le maire pour cette collaboration. Selon lui, ces genres d’activités est important pour le développement de Kaolack. C’est une occasion de renforcer le lien entre l’armé et les populations.

ND.M.GUEYE

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Maltraitances à l’école des sous-officiers de police de Kaolack: Les graves révélations de Guy Marius Sagna

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Dans un post sur les réseaux sociaux, Guy Marius Sagna a fait une révélation qui fait froid dans le dos. Selon l’activiste, des élèves de la 49e promotion de l’École des sous-officiers de police de Kaolack subissent des maltraitances.

Voici l’intégralité de son post:

« Dès mon retour au Sénégal, je vais saisir le gouvernement d’une question écrite sur la formation de la 49e promotion de police.

Il m’est revenu qu’à l’école des sous-officiers de police de Kaolack où est formée depuis le 04 mars 2024 la 49e promotion, les élèves policiers sont victimes de blessures causées par leurs encadreurs, d’injures, d’intimidations…

Trois (03) à quatre (04) élèves de cette promotion ont été tellement giflés que cela leur a causé des problèmes auditifs. D’autres ont été bastonnés par leur encadreur jusqu’à l’évanouissement. Et cela étonne que des policiers insultent, giflent ou passent à tabac dans l’exercice de leur fonction des citoyens ? En réalité c’est à l’école de police que les policiers ont été formés à insulter, bastonner, mal parler, « massacrer » les citoyens qu’ils servent. Il faut que cela change.

La dernière fois que la directrice de l’école de police a visité cette école, l’école a été nettoyée, les repas servis aux élèves étaient exceptionnellement bons ce jour-là et particulièrement bien habillés. Où va le budget de l’école de police de Kaolack ?

Dis-moi comment tu formes les policiers et je te dirai comment tes citoyens seront traités. Le peuple sénégalais aspire à un nouveau type de policier. Et c’est possible.

GMS,

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Législatives 2024: Sidy Diop et le regroupement des artisans du Saloum soutiennent le Pastef

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Face à la presse, ce jeudi 26 septembre, Sidy Diop président du regroupement des artisans du Saloum déclare son soutien sans réserve le président de la République Bassirou Diomaye Diakhar Faye et le Premier Ministre Ousmane Sonko aux élections législatives anticipées du 17 novembre 2024.

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Latmingué: Un jeune de 09 ans retrouvé mort dans les eaux stagnantes de « l’usine UCG » à Keur Aly Codé

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Le corps sans vie d’un garçon âgé de neuf (09) ans a été découvert dans les eaux stagnantes de « l’usine UCG » située à Keur Aly Codé, dans la commune de Latmingué (département de Kaolack), a appris Kaolack Infos.

Informés de la découverte macabre survenue, lundi 23 septembre, des éléments de la compagnie d’incendie et de secours de la Brigade nationale des sapeurs-pompiers se sont dépêchés sur les lieux pour extraire le corps sans vie du jeune garçon.

L’usine de l’UCG, implantée depuis 2015 dans la dite localité, a été fortement décriée par les populations. Elle ne cause que des dommages aux habitants. On se rappelle, en 2019, 3 filles âgées de 12 ans avaient perdu la vie sur le même site et dans les même circonstances, a déclaré Aly Ba.

« Nous invitons les autorités à réagir sinon d’autres jeunes pourront perdre la vie dans ces eaux », a t-il avertit.

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