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Equipe nationale: Pape Thiaw publie une liste de 26 Lions avec des nouveaux et des retours

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Le Sélectionneur national, Papa Bouna Thiaw a publié ce jeudi 7 novembre la liste des joueurs convoqués pour les match Burkina Faso vs Sénégal du 14 novembre 2024 et Sénégal vs Burundi du 19 novembre 2024, comptant pour les 5e et 6e journées des éliminatoires de la CAN Maroc 2025.

A part l’arrivée de Cheikh SABALY de FC Metz et Ibrahima Seck de l’US Gorée,  le Coach Pape Thiaw a misé sur la constance en faisant appel à la quasi totalité des joueurs qui ont été convoqués lors des deux dernières journée.

Nous pouvons noter aussi le retour de Krépin Diatta et celui d’Edouard Mendy.

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Des journalistes attaqués par des agents de sécurité de la mairie de Kaolack: « Danioukoy yakh… »

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Des journalistes attaqués par des agents de sécurité de la mairie de Kaolack: « Danioukoy yakh… »

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Législatives à Kaolack: Mohamed Ndiaye Rahma dit oui à Ousmane Sonko et soutient la liste Pastef

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La vague de soutiens à l’endroit de Pastef se poursuit à Kaolack. Selon les sources de Kaolack Infos, Mouhamed Ndiaye Rahma a décidé de soutenir le parti au pouvoir pour les élections législatives anticipées du 17 novembre prochain.

Selon notre source, Rahma va tenir, ce mardi, un point de presse pour officialiser son soutien à la liste Pastef.

Pour rappel, lors de son passage à Kaolack pour sa campagne, la tête de liste nationale de Pastef, Ousmane Sonko avait reçu l’homme d’affaire et avait échangé avec lui sur plusieurs sujets.

 

FGS/KAOALACKINFOS

 

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Caroline Faye: Première femme députée et ministre au Sénégal

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Caroline Faye Diop a laissé un héritage monumental, une empreinte indélébile dans le parcours politique et social du Sénégal. Première femme sénégalaise à entrer dans les hautes sphères du pouvoir, son parcours est marqué par des victoires pionnières et un engagement sans faille pour l’émancipation des femmes. Née le 11 juillet 1923 à Foundiougne, cette figure audacieuse s’engage d’abord dans l’éducation en devenant institutrice en 1945. Après plusieurs affectations dans des villes du pays comme Louga, Thiès, et Matam, elle s’installe à Mbour en 1951, où elle prend la direction de l’école des filles. C’est ici que sa vie prend un tournant décisif, tant sur le plan personnel que politique.

À Mbour, Caroline rencontre deux hommes qui jouent un rôle clé dans son parcours : Demba Diop, futur mari et politicien engagé, et Abdoulaye Sadji, un intellectuel sénégalais fervent partisan de l’indépendance. Grâce à leurs encouragements, elle développe une conscience politique aiguë et rejoint le Bloc démocratique sénégalais (BDS) en 1948, un parti déterminé à bâtir un Sénégal indépendant et plus équitable. Animée par un désir d’améliorer le quotidien de ses concitoyens, elle milite au sein de cette formation jusqu’à ce que, en 1958, elle participe activement à la création de l’Union progressiste sénégalaise (UPS) de Léopold Sédar Senghor.

En 1960, l’indépendance du Sénégal apporte un vent de changement, et Caroline Faye Diop devient trois ans plus tard la première femme députée du pays. Pour une jeune nation, sa présence à l’Assemblée nationale représente un symbole puissant, celui de l’ouverture aux femmes dans un domaine jusqu’alors réservé aux hommes. Pendant quinze années, elle incarne la voix des femmes sénégalaises, s’investissant particulièrement dans la rédaction du Code de la famille, un texte novateur et essentiel pour les droits des femmes. Son combat pour des politiques sociales inclusives se manifeste par son insistance à obtenir des allocations familiales pour les femmes, ainsi que des droits égaux pour toutes les mères et travailleuses du pays.

En 1978, Caroline Faye Diop franchit une nouvelle étape en devenant la première femme ministre du Sénégal, à la tête du ministère de l’Action sociale. Ce poste, puis ceux de ministre déléguée auprès du Premier ministre et de ministre d’État, lui permettent d’étendre davantage son influence sur les politiques sociales du Sénégal. Sa détermination à promouvoir l’égalité des sexes ne fléchit jamais, même dans les moments les plus difficiles. Lors d’un congrès de l’UPS en 1957, elle interpelle publiquement Senghor, lui faisant remarquer l’absence de femmes parmi les orateurs malgré leur nombre conséquent dans la salle – un acte de courage et de franc-parler qui témoigne de sa conviction et de son engagement pour l’égalité.

Le drame frappe sa vie personnelle en 1967 avec l’assassinat de son époux, Demba Diop, dans un contexte politique tumultueux. Ce tragique événement aurait pu briser bien des carrières, mais Caroline puise dans cette épreuve une force renouvelée pour continuer ses combats. Convaincue de la nécessité d’une voix féminine forte dans les instances de décision, elle reste un pilier pour les droits des femmes, à une époque où les représentations féminines en politique étaient encore très limitées.

Le 29 juillet 1992, Caroline Faye Diop s’éteint, laissant derrière elle un héritage dont le pays se souvient avec gratitude et respect. En hommage à sa contribution historique, le stade Caroline Faye de Mbour porte aujourd’hui son nom, rappelant à chaque génération son courage et sa détermination. Caroline Faye Diop demeure un modèle inspirant pour les jeunes femmes du Sénégal, prouvant que les obstacles, aussi imposants soient-ils, peuvent être franchis par la volonté et le travail acharné.

Papa Abdoulaye Sy

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Publication du livre « Procès social »: Moussa Ngom parle de la vie post-carcérale des détenus

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Moussa Ngom professeur de français, écrivain et poète vient de célébrer ça troisième publication du livre intitulé « PROCES SOCIAL ». La cérémonie de publication du livre a eu lieu, ce samedi, au centre culturel de Kaolack, en présence de plusieurs autorités et lecteurs. Un ouvrage dans lequel l’auteur nous parle des prisonniers et des anciens détenus qui, une fois avoir purgé leurs peines sont regardés autrement par la société. « La manière dont ils sont traités en dehors de la prison, après avoir purgé leurs peines est anormale. Une fois sortis de prison,  la société continue de les juger. Il faut savoir que ces gens là doivent être acceptés et aidés pour une réintégration sociale », a tenté d’expliquer l’auteur dans son roman.

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