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PASTEF: Une révolution démocratique pour un Sénégal nouveau (Par Dr Abdourahmane Ba)

La campagne électorale de la liste PASTEF, conduite par Ousmane Sonko, marque un véritable tournant pour le Sénégal. Dans un climat de neutralité institutionnelle rarissime en Afrique, les élections législatives sénégalaises se déroulent sous l’égide d’un président impartial, garant d’une transparence exemplaire. Ce choix du président Diomaye Faye de se tenir à l’écart du processus électoral, sans intervention partisane et avec équidistance, va permettre une compétition équitable où chaque liste peut exposer ses idées sans entraves. Dans cette atmosphère apaisée et libre, la liste PASTEF incarne l’espoir d’un renouveau démocratique pour le Sénégal.
Face à une marée humaine ralliée aux idées de changement, PASTEF déploie une stratégie de proximité profondément ancrée dans les réalités sénégalaises. Sonko et son équipe ont traversé le pays, visitant les huit pôles de développement et dialoguant avec les citoyens, les acteurs locaux, les leaders communautaires. Chaque rencontre, chaque échange renforce l’ancrage de leur programme, qui répond aux besoins spécifiques des régions et pôles et se veut porteur de solutions concrètes. Cette démarche de terrain, reflet d’un pragmatisme essentiel, transforme les citoyens en participants actifs d’un projet de réforme qui ne se contente plus de promesses vides mais incarne l’action et le changement.
Pourtant, malgré la popularité grandissante de PASTEF, certains candidats, craignant leur défaite, ont vite tenté de perturber la campagne par des manœuvres incitant à la violence. Ces tentatives, loin de déstabiliser le processus, ont trouvé une réponse ferme grâce aux mesures préventives mises en place par le président Diomaye Faye. Le soutien des forces de sécurité et de la justice a efficacement endigué les velléités de trouble, permettant ainsi aux candidats de dérouler sereinement leurs campagnes. Cette gestion exemplaire des tensions fait de cette élection un cas de réussite en matière de stabilité politique au Sénégal, preuve d’une maturité démocratique qui inspire.
PASTEF, dans ce climat pacifique, continue de sensibiliser les électeurs à la nécessité de réformes institutionnelles profondes. Sonko et ses collaborateurs, par une pédagogie rigoureuse, expliquent comment la transparence des institutions et leur robustesse sont cruciales pour réduire les coûts de transaction et améliorer l’efficacité des services publics. Cet effort d’explication rapproche les citoyens des enjeux institutionnels, en leur montrant qu’une gouvernance efficace se traduit par des bénéfices concrets dans leur vie quotidienne.
La campagne de PASTEF ne se limite pas à un simple programme électoral ; elle s’appuie sur des méthodes de politique publique rigoureuses pour bâtir des institutions transparentes et responsables. PASTEF propose ainsi un cadre de gouvernance fondé sur l’efficacité, inspiré des sciences politiques modernes. En recueillant les avis des populations et en adaptant ses propositions d’investissement aux réalités locales, PASTEF montre qu’elle aspire à une gouvernance inclusive, dans laquelle chaque citoyen devient un acteur du changement et voit sa voix valorisée.
Quant au président sortant, Macky Sall, qui a perdu presque tous ses soutiens même dans les bastions qu’ils qualifiaient de « titres fonciers de son parti » – dont plusieurs tentent désormais de rejoindre la dynamique PASTEF –, il avait initialement prévu de mener sa campagne en personne. Mais face à la ferveur populaire pour PASTEF et au désir palpable de réforme, il a dû se résoudre à s’impliquer à distance, notamment par WhatsApp. Cette discrétion, surprenante, ne fait que souligner que l’appel au changement porté par PASTEF est devenu une priorité nationale. Ce renouveau politique et économique, incarné par Sonko et son équipe, ne peut plus être ignoré.
PASTEF cherche également à démontrer comment une majorité parlementaire permettrait de stabiliser les réformes indispensables au développement du Sénégal. En garantissant une assise solide au Parlement, Sonko assure la pérennité de son programme ambitieux pour 2025-2029 pour éviter les obstacles et blocages institutionnels qui freinent trop souvent les initiatives de développement. Cette majorité devient alors le pilier nécessaire pour soutenir une transformation durable du pays.
Les électeurs, ainsi invités à considérer leur vote du 17 novembre comme un acte déterminant, comprennent l’enjeu de cette élection. Le scrutin n’est plus seulement un choix politique ; il est un levier pour un changement profond du cadre institutionnel. En participant activement à ce vote, chaque citoyen s’engage pour une vision ambitieuse de l’avenir du Sénégal, dans laquelle chaque voix devient une brique pour bâtir une gouvernance nouvelle.
L’explication minutieuse des gains économiques attendus des réformes renforce la crédibilité de la campagne. En montrant comment la réduction des coûts de transaction et l’optimisation des services libéreront des ressources pour des investissements stratégiques, PASTEF expose aux électeurs des retombées tangibles. Cette approche basée sur l’analyse des coûts et bénéfices rend le projet concret et accessible et permet ainsi aux citoyens de mesurer l’impact direct de leur soutien.
PASTEF cultive également une relation de confiance en rendant les institutions plus accessibles et transparentes. Les réformes proposées visent à faire de chaque Sénégalais un acteur de la gouvernance, avec des mécanismes clairs de redevabilité. Ce modèle de gouvernance participative, fondé sur la proximité et l’intégrité, renforce le lien entre l’État et les citoyens pour favoriser à la fin une cohésion sociale essentielle pour le développement. L’inclusivité reste un fondement central de la démarche de PASTEF. En intégrant les retours des citoyens dans l’élaboration des projets d’opérationnalisation des politiques, Sonko et son équipe assurent que les réformes répondent aux attentes populaires. Cette dynamique réduit les résistances et garantit une mise en œuvre harmonieuse des politiques, où chaque action reflète la volonté collective.
Nous réitérons notre soutien entier à la liste PASTEF, et appelons les Sénégalais à soutenir un projet où les institutions serviront le bien commun, car seule une majorité parlementaire pourra sécuriser la stabilité des réformes. Ce soutien populaire est essentiel pour garantir l’aboutissement des politiques publiques, où chaque voix compte pour faire émerger un Sénégal plus juste et résilient.
Ce 17 novembre, voter pour PASTEF, c’est choisir un futur fondé sur l’intégrité et la transparence. Ce projet ambitieux appelle chaque citoyen à participer activement à une refonte politique et économique du pays. En votant PASTEF, chaque électeur propose une vision où le Sénégal peut enfin s’affirmer comme un modèle de stabilité et de prospérité, prêt à relever les défis futurs avec détermination et unité.
Dr. Abdourahmane Ba
Ingénieur Statisticien, Docteur en Management
Consultant international
Président du mouvement ESSOR (Engagement Solidaire pour un Sénégal Organisé et Résilient)
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Rapports sur la gestion des fonds Covid-19: 5 ministres impliqués, 15 milliards récupérés, 262 personnes arrêtées

Les procureur général, le procureur de la République et le procureur du parquet financier ont rencontré la presse, ce jeudi 17 avril 2025, dans le cadre de la reddition des comptes par rapport à la gestion des fonds du Covid-19. Au cours de leur intervention, ces procureurs ont fait savoir l’implication de cinq personnes ayant exercé des fonctions ministérielles. Seule une commission de résolution de l’Assemblée nationale, via la Haute Cour de justice, peut se saisir de ces cas. Ces ministres sont pour le moment au nombre de cinq et leurs dossiers ont été transmis au procureur », a dit le procureur Ibrahima Ndoye.
Le parquet a apporté des éclaircissements sur certains dossiers concernant l’exploitation du rapport de la Cour des comptes sur la Covid-19. A cet effet 262 personnes ont été arrêtées dans le cadre de 292 dossiers instruits, avec un total de 15 milliards de francs CFA recouvrés ou saisis.
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Accrochage à Bignona: Un militaire porté disparu, un autre blessé (Armée)

L’armée nationale a entamé, des opérations de sécurisation, dans le département de Bignona pour mettre la main sur des assaillants, suite aux actes criminels perpétrés par ces derniers dans la localité. Ces opérations de rattrapage se sont soldées par un accrochage au cours duquel un soldat est porté disparu et un autre a été blessé, a appris Seneweb du capitaine de vaisseau Ibrahima Sow, directeur de l’Information et des relations publiques des armées (Dirpa). Voici le communiqué.
« COMMUNIQUÉ DE PRESSE
Suite aux exactions commises dans la localité de Djinaki (Département de Bignona) par des individus armés, dans la nuit du 13 avril 2025, la Zone militaire n°5 a lancé une vaste opération dans le secteur pour traquer les assaillants.
Au cours des actions de ratissage, un détachement militaire a été pris à partie par un groupe armé, dans le secteur de Mongone, le 16 avril. Le bilan de l’accrochage s’établit comme suit: un militaire blessé et un porté disparu.
Pour l’heure, tous les moyens nécessaires sont mis en œuvre pour retrouver le militaire disparu.
Les opérations se poursuivent dans la zone en vue de sécuriser les populations et leurs biens ».
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Kaolack: La coopération allemande GIZ s’engage pour une gestion durable des terres à travers le projet Seen Suuf

Face aux conflits liés à la terre et aux ressources naturelles, une réunion du comité de pilotage de la deuxième phase du projet Seen Suuf s’est tenue ce Mardi 15 avril à la gouvernance de Kaolack. Cette journée de concertation visait à appuyer l’amélioration de la gestion foncière dans la région. Présidée par le gouverneur de la région, cette rencontre a réuni les acteurs des collectivités locales, les partenaires techniques, préfets et sous-préfets, les services techniques déconcentrés.
Moukhamadou Moustapha Dièye, responsable de la planification et de la formation de l’ARD de Kaolack, a salué l’accompagnement de la coopération allemande pour sa contribution à la mise en œuvre du projet et remercié l’ensemble des parties prenantes ayant œuvré à la réussite de cette journée. Selon lui, cette seconde phase du projet met un accent particulier sur les enjeux liés au changement climatique. « Nous comptons accompagner certaines communes à ce qu’elles puissent élaborer des projets capables de concourir aux financements verts », a-t-il déclaré. Il a également souligné que la coopération allemande représente un partenaire stratégique des collectivités territoriales, notamment en matière de gouvernance foncière et de résilience climatique.
Monsieur Balla Sall, maire de la commune de Ndiago, localité située dans le département de Guinguinéo, est revenu sur les acquis du projet Seen Suuf. Selon lui, « Grâce à ce partenariat signé par l’État du Sénégal, nous avons renforcé notre connaissance des textes juridiques et réglementaires sur le foncier. Les femmes et les jeunes ont été formés, des comités de gestion ont été mis en place, ce qui a permis de réduire considérablement les conflits ». Il a également salué l’appui matériel reçu à travers ce projet.
Le projet entend consolider ses acquis à travers l’élaboration de 15 plans d’occupation et d’affectation des sols (POAS ) et 2 SCADT dans 17 communes des régions de Kaolack et Kaffrine. La coopération allemande à travers le projet Seen Suuf compte élaborer le programme PAOS Vert dans 10 nouvelles communes, ainsi que la mise en place de services fonciers pleinement fonctionnels.
Il faut noter également que l’objectif principal de ce comité est double. D’abord, il vise à présenter les résultats de la phase 1, mettant en lumière les avancées, les enseignements tirés, ainsi que les défis rencontrés. Il s’agit aussi de partager les orientations et présenter les activités prévues dans la phase 2, afin de garantir la continuité, la cohérence et l’alignement du projet avec les autres initiatives locales et nationales. Ce cadre de concertation vise également à favoriser la coordination des choix techniques et des stratégies d’intervention ; assurer un suivi rigoureux des résultats et de l’impact du projet ; promouvoir la synergie avec d’autres projets ou programmes ; intégrer les expériences et les bonnes pratiques du projet Seen Suuf dans le dialogue politique sur le foncier.
Ndeye Maty Gueye
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Accident à Keur Madiabel: 3 morts dans une collision entre une moto jakarta et un camion

3 personnes issues d’une même famille ont perdu la vie dans un accident de la circulation survenu, ce samedi, à Keur Madiabel ( département de Nioro). Il s’agit d’une collision entre une moto jakarta qui avait à son bord 3 passagers dont un homme et son fils et le conducteur et un camion bene qui transportait du béton.
Selon notre source, les victimes, toutes issues de la même famille sont originaires du village de Ndème, localité située dans la commune de Keur Mandongo. La même source renseigne que, le père, A. Ndiaye, âgé de 40 ans, a amené son enfant de 9 ans qui était malade au poste de santé de Keur Madiabel pour une consultation. C’est sur le chemin du retour qu’ils ont eu cet accident qui leur a couté la vie sur le coup.
La gendarmerie une fois sur les lieux, a constaté le drame et arrêté le chauffeur
Les corps sans vie sont acheminé à la morgue du Centre hospitalier El adj Ibrahima Niass de Kaolack.
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